photo Exposition Marcelle et Anjela

Exposition Marcelle et Anjela

Exposition, Lecture - Conte - Poésie

Saint-Léonard-de-Noblat 87400

Du 16/09/2025 au 15/11/2025

Marcelle et Anjela, ce sont deux poétesses du XXe siècle, l’une occitane, l’autre bretonne, partageant un même combat : écrire dans leur langue maternelle. Marcelle Delpastre, agricultrice en Limousin, ne se promène jamais sans son crayon noir et un cahier. Son premier poème en occitan La Lenga que tant me platz paraît en 1964. C’est à la même époque que la bretonne Anjela Duval publie dans la revue Ar Bed Keltiek son premier texte. L’exposition vous invite à découvrir l’œuvre et la vie de ces deux figures féminines de la poésie contemporaine en langues régionales. Cette exposition hommage est à voir aux horaires d'ouverture de la bibliothèque.

photo Exposition Marcelle et Anjela

Exposition Marcelle et Anjela

Manifestation culturelle, Lecture - Conte - Poésie, Patrimoine - Culture, Histoire - Civilisation, Exposition

Saint-Léonard-de-Noblat 87400

Du 16/09/2025 au 15/11/2025

Marcelle et Anjela, ce sont deux poétesses du XXe siècle, l’une occitane, l’autre bretonne, partageant un même combat : écrire dans leur langue maternelle. Marcelle Delpastre, agricultrice en Limousin, ne se promène jamais sans son crayon noir et un cahier. Son premier poème en occitan La Lenga que tant me platz paraît en 1964. C’est à la même époque que la bretonne Anjela Duval publie dans la revue Ar Bed Keltiek son premier texte. L’exposition vous invite à découvrir l’œuvre et la vie de ces deux figures féminines de la poésie contemporaine en langues régionales. Cette exposition hommage est à voir aux horaires d'ouverture de la bibliothèque.

photo Ma langue maternelle va mourir et j'ai du mal à vous parler d'amour

Ma langue maternelle va mourir et j'ai du mal à vous parler d'amour

Spectacle

LIMOGES 87000

Le 26/02/2022

Yannick Jaulin aime les mots, ce n'est pas nouveau. La langue est son outil de travail et le voilà qu'il parle de son outil, il met des mots sur les siens, le français qu'il adore, sa langue de tête, et le patois, sa langue émotionnelle, la vénération pour toutes ces petites langues échappant à l'économie mondiale. Il raconte joyeusement son amour des langues en duo avec Alain Larribet musicien du monde et béarnais. Il parle de son héritage sensible et de ses lubies : la honte des patois, la résistance à l'uniformisation, la jouissance d'utiliser une langue non normalisée, et la perte de la transmission, car avec les mots disparaissent aussi les savoir-faire, les savoir-être au monde. A 20h. Durée : 1h10. Au Centre culturel Jean Gagnant. Tarifs : 20 € - 15 € - 8 €.